.png){kind=small}
«Prenant le corps de Jésus, Joseph l’enveloppa dans un linceul neuf et le déposa dans le tombeau qu’il venait de faire tailler dans le roc (Matthieu 27-12 59)». Même avec les preuves que fourni le linceul de Turin, la crucifixion de Jésus est encore contestée par des milliards de gens, ou bien qui refusent d’y croire. Mais alors, les preuves suffisent-elles pour croire ? Nous allons nous y intéresser en nous penchant sur le Saint Suaire, puis nous verrons pourquoi le 21ème siècle ne permet pas de croire avec ses «modestes» preuves. Mon but n’est pas d’énumérer les preuves, des vidéos sont déjà disponibles sur ce sujet, vous les trouverez à la fin de cette chronique.
(suite disponible en cliquant sur le PDF ici-bas)
Le 25 mai 1763, la police des grains est supprimée et laisse place à la libre circulation des grains. Le prix du pain explose, c’est la première expérience libérale. Le 14 juillet 1789, selon la version «officielle», le peuple se soulève contre le Roy et ses privilèges. Mais que s’est-il réellement passé, pourquoi parle-t-on de révolution bourgeoise ? C’est à travers cet article que nous allons tenter d’expliquer une des dates les plus connues de notre monde. Nous verrons dans un premier temps comment et pourquoi nous sommes arrivés au 14 juillet 1789.
Il ne faut pas confondre moquerie et humour. Je pense toujours que la moquerie est une source de méchanceté, de division tandis que l’humour unie la personne qui la pratique et son publique. L’humour est une source de bien être, de bien vivre en communauté. La moquerie est bien le contraire. De plus, doit-on forcément s’attaquer à Dieu pour faire rire ? Quel est la source de motivation pour qu’on s’obstine à critiquer, se moquer, cracher sur une religion ?
Idée reçue : Les paysans médiévaux, 1000 ans de famines